Théodore Monod avait conçu ce qu’il nommait un blason, dont on peut lire la description complète de sa main même (fac-similé) dans les Carnets de Théodore Monod, publiés par son fils Cyrille en 1997.
Brièvement, voici de quoi il s’agit :
- au centre le signe des non-violents,
- surmonté d’une croix, signe du christianisme,
- au quatre coins des symboles religieux, en haut à gauche le bouclier de David avec en son centre le Nom divin,
- en haut à droite, inséré dans un cercle le nom divin : ‘Allâh,
- en bas à droite, une fleur de lotus qui symbolise les religions de l’Inde,
- et enfin en bas à gauche, les signes du Yin et du Yang, pour les religions de la Chine.
Ces signes sont encadrés de citations latines :
- sol lucet omnibus :« Le soleil luit pour tout le monde »,
- flores multi, radix una : « De nombreuses fleurs, une seule racine »
- ainsi qu’un extrait de l’Apocalypse de Jean, en latin aussi : erat arbor vitae et folia sua ad sanitationem gentum « Il y avait un arbre de vie dont les feuilles servaient à la guérison des nations »
« Voici un petit dessin que j'appelle généralement mon blason sur lequel vous verrez que ces cinq grandes traditions ont ceci de commun qu'elles sont orientées par l'extrémité de branches, de rameaux, qui s'enracinent toutes dans la même source, la même eau - vous verrez quelque chose en bas qui est un peu tremblé transversalement, cela représente l'eau, l'eau primordiale si vous voulez, et c'est de là que sont sorties les grandes religions. »
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