Pour Jean Luc Marion, la philosophie est toujours dangereuse, la philosophie se fait toujours à coups de marteau. Pour lui, Nietzsche, en annonçant la mort du Dieu moral, est celui qui a ouvert la question de Dieu permettant l'émergence de nouvelles figures du divin.
Le lieu du divin ne pouvait plus être dans la moralité car cette définition n'était plus digne de Dieu. Dieu est Amour sonne chez Jean-Luc Marion, comme une révolution inesquivable.
Ce regard paradoxal Jean Luc Marion comme Lucien Jerphagnon le pose en philosophe du marteau sur le monde et ses innombrables questions : la liberté, l'histoire, la technologie envahissante, le courage, la santé, la maladie et la mort.
Ils nous livrent leurs pensées à contre-courant de toute idée reçue.
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