19 février 2009
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Saint François dit :
« Le Seigneur m’a fait voir que la plus haute activité de l’homme et sa maturité ne consistent pas dans la poursuite d’une idée, si élevée et si sainte soit-elle, mais dans l’acceptation humble et joyeuse de ce qui est, de tout ce qui est.
L’homme qui suit son idée reste enfermé en lui-même.
Il ne communie pas vraiment aux êtres.
Il ne fait jamais connaissance avec l’univers.
Il lui manque le silence, la profondeur et la paix.
La profondeur d’un homme est dans sa puissance d’accueil.
La plupart des hommes demeurent isolés en eux-mêmes, malgré toutes les apparences.
Ils sont pareils à des insectes qui ne parviennent pas à se dépouiller de leur coque.
Ils s’agitent désespérément à l’intérieur de leurs limites.
Au bout du compte, ils se retrouvent comme au départ.
Ils croient avoir changé quelque chose, mais ils meurent sans avoir vu le jour.
Ils ne se sont jamais éveillés à la réalité.
Ils ont vécu en rêve ».
« Le Seigneur m’a fait voir que la plus haute activité de l’homme et sa maturité ne consistent pas dans la poursuite d’une idée, si élevée et si sainte soit-elle, mais dans l’acceptation humble et joyeuse de ce qui est, de tout ce qui est.
L’homme qui suit son idée reste enfermé en lui-même.
Il ne communie pas vraiment aux êtres.
Il ne fait jamais connaissance avec l’univers.
Il lui manque le silence, la profondeur et la paix.
La profondeur d’un homme est dans sa puissance d’accueil.
La plupart des hommes demeurent isolés en eux-mêmes, malgré toutes les apparences.
Ils sont pareils à des insectes qui ne parviennent pas à se dépouiller de leur coque.
Ils s’agitent désespérément à l’intérieur de leurs limites.
Au bout du compte, ils se retrouvent comme au départ.
Ils croient avoir changé quelque chose, mais ils meurent sans avoir vu le jour.
Ils ne se sont jamais éveillés à la réalité.
Ils ont vécu en rêve ».
(Eloi Leclerc « Sagesse d’un pauvre », p 135)
cité dans la Lettre de Béthanie février 2009 http://www.centre-bethanie.org/lettre_56.htm