Douce est la brise au printemps caressant la joue des roses
Doux un visage charmant dans les fleurs fraiches écloses
D’hier qu’est-ce que tu chantes ? Tu m’attristes. Tu m’ennuies.
Goûtons ce bel aujourd’hui, car douce est l’heure présente.
Khayyâm (poète persan du Ve siècle de l’hégire lunaire - XIième siècle)
Cent un quatrains de Khayyâm, traduit par Gilbert Lazard, Hermès, 3e éd., 2002, p. 115.
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