Je pense à notre mère la terre : si nous sommes libres de conditionnements politiques et économiques, nous éviterons sa destruction. [...] 

Si on croit dans le principe de l’unité de la famille humaine, fondée sur la paternité du Créateur, et dans la fraternité des êtres humains, on ne saurait admettre le moindre conditionnement politique ou économique en matière de disponibilité alimentaire.

Et à propos de ce type de pressions, je pense à notre mère la terre : si nous sommes libres de conditionnements politiques et économiques, nous éviterons sa destruction. Attention donc aux conférences qui se tiendront au Pérou et en France pour envisager une bonne gestion de la planète.

Je me souviens d’un vieil homme que disait que Dieu pardonne toujours. Certes, il pardonne offenses et mauvaises actions, l’homme aussi pardonne parfois, mais la terre ne pardonne jamais. Nous devons choyer la terre afin d’éviter qu’elle anéantisse l’humanité.

[...]  Il faut donner à manger aux affamés afin de sauver la vie sur cette planète ».

Visite du pape à la FAO à Rome

http://ecologyandchurches.wordpress.com/2014/11/20/rome-scandaleux-paradoxe-de-labondance/