Un saint moine du Mont Athos, un staretz qui fut presque notre contemporain, écrit ce qui suit, en s'adressant à chaque chrétien :
« Quand le Seigneur t'aura sauvé avec toute la multitude de tes frères, et quand il ne resterait qu'un seul des ennemis du Christ et de l'Eglise dans les ténèbres extérieures, ne te mettras-tu pas avec tous les autres à implorer le Seigneur afin que soit sauvé cet unique frère non repenti ?
Si tu ne le supplies pas jour et nuit, alors ton cœur est de fer, — mais on n'a pas besoin de fer au paradis. »
rapporté par le R.P. TURINCEV