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V acarme vide
Jusqu’où m’entraînes-tu
Frénésie qui me grises
« Tout
est vanité »
Que suis-je pourtant
Sans la brousse innombrable
des mains tremblantes
Frayeur
Faim
Et fureur
Sans ce sourire triste comme
Celui du Sauveur sur sa Croix
Sans l’atome de baume
qui soulage
Et me fait vivre
georges meckler