Vous trouverez ici des textes extraits de mes écoutes et lectures "spirituelles". Si un mot, une phrase, une
pensée, touche votre coeur c'est que Dieu vous a fait signe par les mots de ceux qu'Il inspire.
Sœur Blandina Paschalis Schlômer, spécialiste du Linceul de Turin et du Voile de Manoppello fait l'hypothèse suivante concernant ces différentes reliques :
le Suaire d'Oviedo, qui a servi à absorber le sang du Christ au moment de sa mort, est disposé autour de sa tête
la Sainte Coiffe de Cahors, supporte le menton et est nouée sous celui-ci
le Linceul de Turin, enveloppe tout le corps
le Suaire de Kornelimunster en byssus, enveloppe tout le corps sauf le visage (le suaire de byssus était signe de vénération et de royauté)
le Voile de Manoppello en byssus est déposé sur le visage
Le Sindon Munda en lin aurait servi à couvrir la pierre sur laquelle le corps du Christ a été déposé.
Le schéma ci-dessus explique comment le corps du Christ a probablement été enveloppé dans des linges funéraires qui existent encore aujourd'hui (schéma réalisé selon l'hypothèse de Sœur Blandina Paschalis Schlômer, Jésus Christ, Agneau et Beau Pasteur, Face à face avec le Voile de Manoppello, éditions Librim Concept).
Le Voile de Manoppello ou voile de Véronique
« Comparez le visage du voile de Véronique à celui du Saint-Suaire. L’un est la face d’un vivant, l’autre celle d’un mort. Mais la longueur, la largeur, les caractères somatiques, la forme, les caractéristiques sont identiques. Superposez les images, elles correspondent. » Page447 Tome10 (L’Évangile tel qu’il m’a été révélé Maria Valtorta)
La Sainte Coiffe de Cahors
Le Suaire d'Oviedo
Saint Suaire de Turin
1. La sainte Face du Suaire de Turin
2. Le voile de Véronique (Suaire de Manoppello)
3. Icône d’un moine en 540
4. Reconstitution informatique (2010) à partir des données informatisées du Saint Suaire de Turin
La Sainte Face défigurée expliquée en 29mn par : Bruno Perrinet (Chrétiens Magazine/ Raimage) et Guillaume Nocq (Pour l’amour du Père)
The Craft of Byssus
The production of a very thin silky fabric made out of byssus (or “sea silk”) has been a craft mastered first by the Egyptians during the Neolithic, then by the Phoenicians and the Israelites tribes associated with them. Due to its shinning color when lit by the Sun, it has often been called “golden cloth”. Its manufacture has spread in the Western part of the Mediterranean Sea following the establishment of the Phoenician colonies there.
Some centuries later, the trade of byssus cloth in the West was still a Judeo-Punic specialty at the time of the Roman Empire. Only the ruling classes were allowed to wear clothes made of byssus.
Historians believe that the word for “silk” in many circummediterranean languages named first the byssus fabric, before naming later on the Chinese silk imported from far away and less expensive. There, during the Han and the Tang dynasties, the foreign byssus was named “cloth made from shuǐyáng (水羊 water sheep)”. This resonates with the famous story of the Golden Fleece – in fact originally a joke made at the expense of the Greeks by the Phoenicians.
In the Hebrew Bible, the name for the byssus has two etymological origins: one Egyptian (שש shesh) and one West-Semitic (בוץ bûṣ). Out of their lack of expertise about ancient realia, most medieval biblical commentators translated those two words by “very fine flax”.
The knowledge of this antique craft, which has vanished everywhere else in the world, was miraculously kept alive in Sardinia (my friend Chiara Vigo) – a hint of the historical presence there of a particular Judeo-Punic syncretism. Some assume that Sardinia is the biblical “Tarsis (תרשיש Tarshîsh)”, famous for its ships (אניות oniyyôth). The Sardinian Island has still many hidden treasures waiting to be discovered.
***
L'artisanat du byssus
La production d'un tissu soyeux très fin à base de byssus (ou "soie de mer") a été un métier maîtrisé d'abord par les Égyptiens au néolithique, puis par les Phéniciens et les tribus israélites qui leur étaient associées. En raison de sa couleur brillante lorsqu'il est éclairé par le soleil, il a souvent été appelé "tissu d'or". Sa fabrication s'est répandue dans la partie occidentale de la Méditerranée à la suite de l'établissement des colonies phéniciennes dans cette région.
Quelques siècles plus tard, le commerce du byssus en Occident était encore une spécialité judéo-punique à l'époque de l'Empire romain. Seules les classes dirigeantes étaient autorisées à porter des vêtements en byssus.
Les historiens pensent que le mot "soie" dans de nombreuses langues circumméditerranéennes a d'abord désigné le tissu de byssus, avant de nommer plus tard la soie chinoise importée de très loin et moins chère. Ainsi, sous les dynasties Han et Tang, le byssus étranger était appelé "tissu de shuǐyáng (水羊 mouton d'eau)". Cela fait écho à la célèbre histoire de la Toison d'or, qui était à l'origine une plaisanterie faite aux dépens des Grecs par les Phéniciens.
Dans la Bible hébraïque, le nom du byssus a deux origines étymologiques : l'une égyptienne (שש shesh) et l'autre ouest-sémitique (בוץ bûṣ). La plupart des commentateurs bibliques médiévaux ont traduit ces deux mots par "lin très fin", par manque d'expertise dans le domaine de la réalité antique.
La connaissance de cet antique métier, qui a disparu partout ailleurs dans le monde, a été miraculeusement maintenue en vie en Sardaigne (mon amie Chiara Vigo) - un indice de la présence historique dans cette région d'un syncrétisme judéo-punique particulier. Certains supposent que la Sardaigne est la "Tarsis (תרשיש Tarshîsh)" biblique, célèbre pour ses navires (אניות oniyyôth). L'île sarde recèle encore de nombreux trésors cachés qui ne demandent qu'à être découverts.
La comparaison des suaires La première photo du Suaire de Turin, en 1898, révéla qu'il était comparable à un négatif de photographie. Le Voile de Manoppello, par contre, rappelle une diaposit...
Prière à la Sainte Face de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte Face
O Jésus, qui dans votre cruelle passion êtes devenu « l’opprobre des hommes et l’homme de douleurs », je vénère votre divin visage, sur lequel brillaient la beauté et la douceur de la divinité, maintenant devenu pour moi comme le visage d’un « lépreux » !
Mais sous ces traits défigurés je reconnais votre amour infini, et je me consume du désir de vous aimer et de vous faire aimer de tous les hommes.
Les larmes qui coulèrent si abondamment de vos yeux m’apparaissent comme des perles précieuses que j’aime à recueillir afin d’acheter avec leur valeur infinie les âmes des pauvres pécheurs.
O Jésus, dont le visage est la seule beauté qui ravit mon cœur, j’accepte de ne pas voir ici-bas la douceur de votre regard ; de ne pas sentir l’inexprimable baiser de votre bouche; mais je vous supplie d’imprimer en moi votre divine ressemblance ; de m’embraser de votre amour, afin qu’il me consume rapidement et que j’arrive bientôt à voir votre glorieux visage dans le Ciel.
O Face ensanglantée, ô Face divine, que toute adoration vous soit rendue. (trois fois).
Ainsi soit-il.