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1 février 2023 3 01 /02 /février /2023 20:30

Trois ans de travail avec plus de vingt scientifiques et de spécialistes de haut niveau :
voici révélées les preuves modernes de l'existence de Dieu.

Pendant près de quatre siècles, de Copernic à Freud en passant par Galilée et Darwin, les découvertes scientifiques se sont accumulées de façon spectaculaire, donnant l'impression qu'il était possible d'expliquer l'Univers sans avoir besoin de recourir à un dieu créateur. Et c'est ainsi qu'au début du XXe siècle, le matérialisme triomphait intellectuellement.

De façon aussi imprévue qu'étonnante, le balancier de la science est reparti dans l'autre sens, avec une force incroyable. Les découvertes de la Relativité, de la mécanique quantique, de l'expansion de l'Univers, de sa mort thermique, du Big Bang, du réglage fin de l'Univers ou de la complexité du vivant, se sont succédées.

Ces connaissances nouvelles sont venues dynamiter les certitudes ancrées dans l'esprit collectif du XXe siècle, au point que l'on peut dire aujourd'hui que le matérialisme, qui n'a jamais été qu'une croyance comme une autre, est en passe de devenir une croyance irrationnelle.

Dans une langue accessible à tous, les auteurs de ce livre retracent de façon passionnante l'histoire de ces avancées et offrent un panorama rigoureux des nouvelles preuves de l'existence de Dieu. À l'orée du XXe siècle, croire en un dieu créateur semblait s'opposer à la science. Aujourd'hui, ne serait-ce pas le contraire ?

Une invitation à la réflexion et au débat.

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5 janvier 2023 4 05 /01 /janvier /2023 20:30

 

Que l'on soit croyant ou non, il est clair que Jésus est la personnalité ayant eue le plus d'impact sur l'histoire de l'humanité. Mais que sait-on exactement de lui ?

Une enquête qui ramène le lecteur 2000 ans en arrière, basée sur des sources réelles indiscutables, mais souvent peu connues, même par les plus passionnés.

Pendant longtemps, l'expression populaire " Paroles d'Evangile " montrait que l'on prenait leur contenu au pied de la lettre.

Puis, avec la modernité est venue la critique des textes, et certains auteurs, y compris chrétiens, en sont venus à dire que, finalement, on ne savait que très peu de choses sur Jésus, et encore moins sur les paroles qu'il avait prononcées.

Mais est-ce vrai ou juste un a priori de notre époque ?

Ne serait-ce pas extraordinaire si l'on pouvait avoir sur lui un témoignage de première main dont on pourrait montrer qu'il est extrêmement fiable jusque dans d'infimes détails ?

En menant une véritable enquête haletante " à la Hercule Poirot ", à partir de l'analyse de l'ensemble des ressources disponibles dans les premier et deuxième siècles de notre ère qu'il a analysé, Jean Staune nous montre que c'est bien le cas avec le 4e Evangile, qui est fort différent des trois autres.

Mais cela implique quelque chose de stupéfiant : le principal disciple de Jésus, celui qui se présente comme le " Disciple que Jésus Aimait " n'a jamais été l'un des Douze Apôtres !

Cela ouvre des perspectives nouvelles et inattendues sur les origines du christianisme.

Mais surtout, à partir du moment où l'on prend ce témoignage et les propos les propos de Jésus qu'il contient au sérieux, cela implique une compréhension nouvelle de la nature de Jésus qui surprendra même les chrétiens, qui pourtant placent déjà la barre très haut en le considérant comme " le fils de Dieu ".

Cela nous dévoilera aussi des choses essentielles sur notre propre nature et notre propre destinée.

A l'opposé de toute " démarche à la Da Vinci code ", cette enquête, qui ramène le lecteur 2000 ans en arrière, est basée sur des sources réelles indiscutables, mais souvent peu connues, même par ceux passionnés par les origines du mouvement qui a le plus impacté l'histoire humaine.

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3 octobre 2022 1 03 /10 /octobre /2022 19:27

La Science, l’épreuve de Dieu ?

de François Euvé

Salvator, 186 p., 18 €

Sans le dire explicitement, ce petit livre répond à Michel-Yves Bolloré et Olivier Bonnassies qui, avec leur récent ouvrage Dieu, la science, les preuves (Guy Trédaniel, 2021, 577 p., 24 €), ont semé le trouble pour certains, de faux espoirs pour d’autres. Les auteurs en question cherchent à apporter « des preuves de l’existence de Dieu, modernes, claires, rationnelles, multidisciplinaires, confrontables objectivement à l’univers réel ». Un sujet qui passionne, les quelque 100 000 exemplaires écoulés à grand renfort de marketing en sont… la preuve.

Ce à quoi François Euvé, jésuite et physicien, rétorque que « c’est plus complexe qu’il n’y paraît ». Loin d’être affirmatif – d’ailleurs le titre de son essai est ponctué d’un point d’interrogation –, l’auteur qui est aussi rédacteur en chef de la revue Études, pose les questions autour de « l’existence de Dieu », avant de décrypter « les théories (scientifiques) nouvelles ». Il se demande alors si « Science et foi peuvent dialoguer ». Avec une conviction : « Je ne crois pas que le mélange des genres soit profitable aux deux partis. Que la science soulève plus de questions fondamentales qu’on ne pouvait le penser il y a un siècle est une chose, qu’elle démontre l’existence de Dieu ou la pertinence de la religion en est une autre », affirme-t-il en préambule.

Pas de preuves, mais des signes

Reprenant l’évolution chronologique de la réflexion sur l’existence de Dieu, François Euvé rappelle que « s’il n’existe pas – et ne peut exister par principe – de “preuves” formelles et définitives de l’existence de Dieu, on peut néanmoins en trouver des signes ». Une réflexion qui passe évidemment par Thomas d’Aquin, pour qui « il y a donc un être intelligent par lequel toutes choses naturelles sont ordonnées à leur fin, et cet être, c’est lui que nous appelons Dieu ».

Parallèlement aux avancées théologiques, la science se déploie progressivement, butant sur les mêmes énigmes. Ainsi, à son tour, Voltaire l’affirmera poétiquement : « L’univers m’embarrasse et je ne puis songer que cette horloge existe et n’ait pas d’horloger. » L’auteur évoque ensuite les théories successives et complexes des progrès scientifiques qui butent principalement sur deux questions : l’origine du monde et l’intervention « miraculeuse » de Dieu dans le cours des choses humaines. Or, « on ne peut pas voir le commencement de l’univers, simplement l’extrapoler à partir de ce que nous connaissons. Plus on s’en approche, plus il devient difficile d’accès ». Et l’auteur jésuite d’en référer à une figure tutélaire : « La rigueur intellectuelle d’Albert Einstein ne l’empêchait pas de se sentir troublé par le mystère du monde. »

Deux dimensions à faire dialoguer

L’important réside sans doute dans ce dialogue de deux dimensions portant leur regard sur le monde tel qu’il est : « L’émergence d’une science autonome ne met pas en péril la confession d’un Dieu créateur, poursuit François Euvé. Chaque domaine a son espace de validité, qu’il convient de ne pas transgresser. Mais, à l’inverse, il serait dommage de ne pas tirer profit d’une pluralité des approches du monde, scientifique, philosophique, théologique, poétique. »

Un texte alerte, qui s’achève avec un entretien entre l’auteur et physicien Étienne Klein, ce dernier insistant encore : « Prétendre prouver scientifiquement l’existence de Dieu serait également faire preuve de naïveté à l’égard de la science elle-même. (…) Cela impliquerait qu’elle aurait complètement terminé sa propre construction au point de pouvoir trancher toutes les questions qui se posent à nous, y compris celles qui ne sont pas scientifiques. »

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