Vous trouverez ici des textes extraits de mes écoutes et lectures "spirituelles". Si un mot, une phrase, une
pensée, touche votre coeur c'est que Dieu vous a fait signe par les mots de ceux qu'Il inspire.
En ces jours de froid glacial écoutons la voix puissante de l'abbé Pierre qui donne la parole aux sans voix, qui dérange et bouscule au nom de l'amour et de la dignité humaine.
Nous aurions besoin aujourd'hui d'une voix semblable pour donner une voix aux migrants, aux exilés qui souffrent en silence des mêmes maux que ceux des français pauvres des années cinquante.
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Lee Strobel, journaliste d’investigation au Chicago Tribune et athée revendiqué, est confronté à la soudaine conversion de son épouse au christianisme. Afin de sauver son couple, il se met à enquêter sur la figure du Christ, avec l'ambition de prouver que celui-ci n'est jamais ressuscité...
Le livre dont s’inspire le film, The Case for Christ, a été un succès international, et pour cause, il s’agit d’une enquête menée par un homme intelligent et déterminé à prouver le mensonge sur lequel une partie de l’humanité se fonde depuis deux mille ans pour nourrir sa foi. Comment réfuter les preuves de la Résurrection ?
Lee se met à rencontrer des pointures de différentes spécialités, médecin, psychanalyste, pasteur, théologien, dans tout le pays, pourvu d’obtenir des réponses cartésiennes à ses interrogations. Les faits valent mieux qu’une possible illumination de la foi selon lui, basée sur un épisode pour le moins suspicieux rapporté dans la Bible par des témoins faillibles.
Mike Vogel dans le rôle de Lee, et Erika Christensen dans le rôle de Leslie, sont particulièrement convaincants. La mise en scène et la qualité photographique du film mènent le spectateur dans l’Amérique des années 80, et rivalisent avec les productions auxquelles le public est désormais habitué.
Le scénario est construit de telle sorte que la recherche d’indices se mêle à l’histoire plus intime du couple, ainsi qu’à une autre enquête menée par Lee pour son journal, qui le conduira à repenser ses pratiques et à toujours remettre en perspective ses convictions.
Ce film stimulera le public, lui donnera l’occasion de faire son propre voyage spirituel : « Par mon livre, je voulais atteindre les gens avec les preuves concrètes du christianisme, de la vérité, de la foi et de l’amour de Dieu. Mais les gens auront plus de facilité à regarder un film de quatre-vingt-dix minutes qu’à lire un livre de trois cents pages. Il ouvrira donc une nouvelle voie. »
En cela, il possède une réelle portée évangélique. Déjà, le livre avait eu un véritable impact sur les lecteurs. L’auteur raconte notamment qu’un homme atteint du cancer s’était converti sur son lit de mort après l’avoir lu, alors même que son frère essayait de l’y inciter depuis près de cinquante ans.
Le 28 février prochain sortira au cinéma, l'adaptation française du film " The Case for Christ ", " Jésus, l'enquête ", l'histoire vraie d'un journaliste du Chicago Tribune qui décida de ques...
Inspiré du best-seller The Case for Christ sorti en 1998, le réalisateur américain Jon Gunn s'est inspiré du témoignage du journaliste Lee Strobel pour exposer les preuves de la Résurrection ...
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Sœur Bernadette Moriau, 78 ans, a été reconnue par l’Église comme ayant été guérie miraculeusement à Lourdes. Hier, à Beauvais, elle a raconté pour la première fois sa guérison en public, soulignant combien ce « cadeau gratuit reçu de Dieu » la dépasse.
Beauvais (Oise) De notre envoyée spéciale
Longue jupe brune, pull en laine blanche ras du cou, silhouette fluette, regard timide. Sœur Bernadette Moriau le reconnaît : elle n’a pas l’habitude d’être sous les feux de la rampe. Hier, pourtant, elle s’est adressée avec aisance et humour à la cinquantaine de journalistes massés dans une salle de la maison diocésaine de Beauvais. « Je suis chargée de vous le témoigner, pas de vous le faire croire », dit-elle d’ailleurs, en reprenant les mots de sainte Bernadette Soubirous devant ceux qui l’interrogeaient.
Et ce que raconte la religieuse de Beauvais, avec simplicité et modestie, est effectivement de l’ordre de l’incroyable : le 70e miracle de Lourdes reconnu par l’Église depuis 160 ans. « En 2008, quand mon médecin traitant, le docteur Christophe Fumery, responsable de l’hospitalité à Lourdes, m’a proposé de partir en pèlerinage avec le diocèse de l’Oise, j’ai pensé que cela pourrait être une grâce, puisque je m’appelle Bernadette », commence-t-elle. Curieusement, elle ne s’était jamais rendue dans la cité mariale en tant que malade, depuis qu’en 1966 apparurent les premiers symptômes d’une maladie des racines lombaires et sacrées, connue sous le nom de « syndrome de la queue de cheval ». Mais il était prévu qu’elle y aille quelques mois plus tard, pour fêter ses 50 ans de vie religieuse chez les franciscaines oblates du Sacré-Cœur de Jésus.
Pendant ce pèlerinage, début juillet, la religieuse reçoit le sacrement de la réconciliation puis celui des malades. Elle est marquée par « la fraternité » qui règne entre les malades, les bénévoles et les soignants. « Je n’ai jamais demandé ma guérison, insiste-t-elle, mais simplement la force de poursuivre le chemin. » Devant la grotte de Massabielle, elle sent la présence mystérieuse de Marie. Mais c’est surtout pendant la procession du Saint Sacrement, au milieu des fauteuils roulants dans la basilique Saint-Pie-X, qu’elle vit une expérience intense. « J’ai entendu le Seigneur me dire : “Je vois ta souffrance. Donne-moi tout.” J’ai beaucoup prié alors pour les malades, surtout les plus jeunes, afin qu’ils guérissent. »
De retour dans sa communauté de Bresles, non loin de Beauvais, elle ne ressent aucune amélioration. Mais le 11 juillet, dans la chapelle de sa communauté, elle revit la joie intense ressentie quelques jours plus tôt dans la basilique lourdaise et ressent une chaleur inhabituelle dans tout le corps. « À 18 heures, je suis rentrée dans ma chambre et une voix m’a dit : “Enlève tes appareils.” Dans un acte de foi, j’ai alors retiré le corset, l’attelle et le neuro-stimulateur. J’ai pensé à Jésus disant au paralytique : “Prends ton grabat et marche.” À ma grande surprise, quand j’ai retiré l’attelle, mon pied gauche était redressé. Je suis allée voir ma sœur de communauté, je lui ai dit que je ne comprenais pas ce qui se passait. Nous avons pleuré et prié. » Le jour même, sœur Bernadette Moriau arrête définitivement la morphine et échappe désormais à de lourds traitements. Au point même que le lendemain, elle part marcher 5 km en forêt avec sa belle-sœur.
La religieuse ne dit rien de ce qui lui est arrivé. Même à Lourdes, l’année suivante – elle y retourne chaque année depuis 2009 pour s’occuper des malades –, elle ne raconte rien. « Et quand certains me reconnaissaient, je ne m’étendais pas », poursuit-elle. « Aujourd’hui, j’ai la chance de pouvoir donner au maximum tout ce que le Seigneur m’a donné », répond-elle pour expliquer pourquoi elle a accepté que son dossier soit examiné par le bureau médical de Lourdes (lire ci-dessous). Elle se dit émerveillée par ce « cadeau » reçu de Dieu et n’a pas encore bien pris conscience de la manière dont sa vie publique va désormais changer.
Sœur Bernadette ne renie toutefois rien de sa vie de malade. Pendant près de quarante années, fréquentant les hôpitaux et les centres de rééducation, elle a partagé avec d’autres malades. « J’ai parfois été découragée, j’en avais assez de la souffrance, j’avais envie d’en finir, mais je n’ai jamais douté de Dieu présent à mes côtés. Je crois que ma vie était aussi féconde quand j’étais malade que maintenant ! »
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