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12 septembre 2017 2 12 /09 /septembre /2017 22:50
Sainte Gianna Beretta Molla
SAINTE GIANNA BERETTA MOLLA
(1922-1962)

PROTECTRICE DE LA FAMILLE ET DE LA VIE

Son intercession se révèle particulièrement efficace dans les cas de mariages stériles, de grossesses difficiles, de problèmes de mariage, de famille et de fiançailles. D’ innombrables témoignages de son intercession arrivent du monde entier au Sanctuaire de Mesero (Milan, Italie).

Gianna BERETTA (Jeanne, en français) est née à Magenta (Milan, Italie) le 4 octobre 1922. Dès son enfance, elle reçoit de ses parents très pieux le don de la foi et une éducation fortement chrétienne.

Durant les années de lycée et d'université, elle s'engage dans l'Action Catholique et fait du bénévolat pour les personnes âgées et les pauvres avec la Conférence St-Vincent-de-Paul. Les difficultés et les souffrances ne lui manquent pas: santé délicate, déménagements de la famille, maladie et mort de ses parents. Mais tout cela ne la trouble pas, étant donné la profondeur de sa vie spirituelle et sa confiance en Dieu.

Docteur en médecine et en chirurgie de l'Université de Pavie en 1949, elle ouvre en 1950 un dispensaire à Mesero, près de Milan, et se spécialise en pédiatrie à l'Université de Milan en 1952.

Elle préfère assister les mamans, les enfants, les personnes âgées et les pauvres et exerce son travail de médecin comme une mission.

En même temps, elle est très active et aime faire du ski et de l'alpinisme.

Elle s'interroge, prie et fait prier pour sa vocation qu'elle considère comme un don de Dieu.

Elle songe à devenir missionnaire laïque pour partir au Brésil aider son frère Alberto, prêtre capucin, missionnaire, qui travaille dans un hôpital construit avec l’aide d’un autre frère.

Alberto était considéré comme le «saint de famille» et vénéré comme un saint au Brésil dès son vivant.

A cause de sa santé délicate, son Père spirituel l’empêche de partir et elle comprend que le Seigneur a d’autres projets sur sa vie.

Elle rencontre l'Ingénieur Pietro MOLLA et répond ainsi à l’appel au mariage.

Dans une lettre à son fiancé Pietro, Gianna lui écrivait : «Je veux former avec toi une famille vraiment chrétienne, un petit Cénacle où le Seigneur se sent chez Lui, nous guide et nous aide à réaliser nos projets…

En vivant ainsi, Pietro, jour après jour, nous atteignons cette sainteté conjugale que Dieu attend de nous…

Je veux former avec toi une famille riche d’enfants comme l’ont été les belles familles dans lesquelles nous sommes nés et où nous avons grandi».

Leur mariage a eu lieu le 24 septembre 1955 et, en 1956, Gianna est devenue maman pour la première fois: Pierre Louis naît; puis, en 1957, c'est Mariolina; en 1959, c'est Laure la troisième.

Gianna sait harmoniser avec simplicité et équilibre ses devoirs de mère, d'épouse, de médecin ainsi que sa grande joie de vivre et son amour pour la nature et les sports.

En septembre 1961, vers le deuxième mois de la quatrième grossesse, un fibrome à l'utérus apparaît.

Tout en sachant les risques de poursuivre la grossesse, elle refuse de recourir à l'avortement car elle veut sauver la vie de son enfant et se confie complètement à la prière et à la Providence.

En qualité de médecin, Gianna connaît parfaitement les risques de son accouchement mais elle est prête à donner sa vie pour sauver celle du bébé: «Si vous devez décider entre moi et l'enfant, n'hésitez pas: choisissez, et je l'exige, l'enfant. Sauvez-le», répète-elle aux médecins et à son mari.

Jeanne Emmanuelle est née, saine et sauve, au matin du samedi de Pâques, le 21 avril 1962 mais le 28 avril, malgré tous les efforts pour sauver aussi la vie de la mère, Gianna meurt saintement au milieu de douleurs indicibles, après avoir répété: «Jésus je t'aime, Jésus je t'aime».

Elle avait 39 ans. Son enterrement fut une grande manifestation de profonde émotion, de foi et de prière.

Elle repose aujourd'hui au cimetière de Mesero dans la chapelle de famille. Aujourd’hui, Gianna Emanuela est devenue médecin, comme sa mère. Gianna BERETTA MOLLA a été béatifiée par Jean Paul II le 24 avril 1994, lors de l'Année Internationale de la Famille, et canonisée le 16 mai 2004.

Pour sa béatification, l’Église a reconnu un miracle qui a permis à une jeune maman brésilienne de Grajau de porter à terme sa grossesse en 1977.

Grajau est le village où Père Alberto, le frère missionnaire de Gianna, avait fondé un hôpital et travaillé longtemps avant de rentrer en Italie à cause d’une grave maladie.

Une autre jeune maman brésilienne, Elisabetta Arcolino, de la ville de Franca, a également demandé l’intercession de Gianna car sa grossesse était sérieusement compromise.

Elle a miraculeusement mis au monde son bébé Gianna Maria, à la stupéfaction des médecins, puisque la rupture des membranes, à la 16ème semaine, a fait que l’enfant s’est développée sans liquide amniotique!

L’enfant est né le 31 mai 2000, à la 32e semaine, par césarienne: elle pesait 1820g mais aucune complication n’a suivi, pas même respiratoire.

Ce deuxième miracle a permis la canonisation de Gianna et de la vénérer comme «Sainte» dans le monde entier.

Gianna BERETTA MOLLA, dès son vivant, songeait à devenir missionnaire laïque au Brésil et elle est devenue missionnaire au Brésil et dans le monde entier après sa mort héroïque.

Son intercession se révèle particulièrement efficace dans les cas de mariages stériles, de grossesses difficiles, de problèmes de mariage, de famille et de fiançailles.

Les témoignages de son intercession arrivent quotidiennement au Sanctuaire de Mesero du monde entier.

Surtout, plusieurs personnes témoignent de nombreuses grâces reçues après avoir prié devant son tombeau.

Celui-ci se trouve au cimetière de Mesero (Milan, Italie), dans la chapelle de famille, à côté du Sanctuaire de la Famille, dédié à elle.

Le Recteur du Sanctuaire, don Tiziano Sangalli, reçoit les intentions de prières et de messes et il les célèbre (quand c’est possible), dans la chapelle du cimetière, devant le tombeau de GIANNA.

Pour les intentions de prières et pour contacter don Tiziano, le Recteur du Sanctuaire de Sainte Gianna il suffit d’écrire une email à don.tiziano@yahoo.it

Patrizia Gattaneo

Prière

 

Dieu, toi qui es Père, nous te louons et nous te bénissons parce qu'en Sainte Gianna Beretta Molla, tu nous as donné et fait connaître une femme témoin de l'Evangile comme «jeune», épouse, mère et médecin. Nous te remercions parce que, même à travers le don de sa vie, tu nous apprends à accueillir et à honorer chaque créature humaine.

Toi, Seigneur Jésus, tu as été pour elle un référent privilégié : elle a su te reconnaître dans la beauté de la nature; pendant qu'elle se posait des questions par rapport à son choix de vie, elle te recherchait ainsi que la meilleure façon de te servir; à travers l'amour conjugal, elle s'est faite signe de ton amour pour l'Eglise et pour l'humanité; comme toi, bon samaritain, elle s'est arrêtée près de chaque personne malade, petit et faible; sur ton exemple et par amour, elle s’est offerte elle-même, en engendrant une nouvelle vie.

Esprit-Saint, source de toute perfection, donne-nous la sagesse, l'intelligence et le courage pour que nous puissions, nous aussi, à l'exemple de sainte Gianna et par son intercession, nous mettre au service de chaque homme et femme dans notre vie personnelle, familiale, professionnelle et grandir ainsi dans l'amour et dans la sainteté. Amen

Vie de SAINTE GIANNA BERETTA MOLLA (PDF)

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12 septembre 2017 2 12 /09 /septembre /2017 21:06
Naissance au ciel de Mgr René Laurentin
Mgr René Laurentin entre avec Marie dans la joie éternelle

Aujourd'hui, c’est une grande âme qui nous quitte : Mgr René Laurentin, personnalité très chère à tous les enfants de la Vierge Marie, qui aurait eu 100 ans le 19 octobre prochain, s’en est allé rencontrer Dieu. Après avoir été expert au Concile Vatican II et après l'œuvre magnifique et fondamentale qu'il a réalisée sur les apparitions de Lourdes, qui a permis d'asseoir définitivement la crédibilité de ce grand sanctuaire, Mgr René Laurentin a été amené à connaître quantité d'autres lieux importants pour la Vierge Marie, en publiant plus de 150 livres sur de nombreux sujets.

C'est par exemple grâce à lui que s'est développée rapidement la notoriété de Medjugorje, où il se rendit de si nombreuses fois avec Edmond Fricoteaux, et dont les fruits sont aujourd’hui à l'échelle du monde.

Il a accompagné de ses conseils, de sa prière, de sa présence et de ses comptes rendus toute l'aventure de Notre-Dame de France, des Vierges pèlerines, de Marie de Nazareth, de Baillet-en-France à Bethléem, en passant par le Puy-en-Velay, Reims, Lorette, etc.

Il nous a beaucoup aidé, et de 1000 manières. Ces dernières années, ses yeux qui progressivement s’éteignaient, s’ouvraient sur la Lumière intérieure et ses oreilles, en faiblissant, n’écoutaient plus que les paroles du Ciel. Il avait confié à son ami François-Michel Debroise sa certitude que Marie qu’il a tant chantée et contemplée l’accueillerait à l’heure de sa mort pour le conduire à la vie éternelle en plénitude et en sérénité.

Ses obsèques seront célébrées vendredi 15 septembre prochain à 10h30 en la cathédrale d’Évry par Mgr Michel Dubost, ancien évêque d’Evry, actuellement administrateur apostolique du diocèse.

Nous vous proposons de venir nombreux rendre un dernier hommage à Mgr René Laurentin ou de vous associer à ce moment par une prière toute spéciale !

Toute l’équipe d’Une minute avec Marie 
et de l’Association Marie de Nazareth
 

Je vous salue, Marie pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Amen.

Mémoire éternelle,

Qu'il repose dans la paix!

Né en 1917 — l’année des apparitions de Marie à Fatima — l’abbé Laurentin a rejoint la maison du père ce dimanche 10 septembre 2017, deux jours après la fête de la Nativité de la Vierge Marie. Avec lui, c’est une grande figure de l’histoire contemporaine de l’église de France qui s’est éteinte. Ordonné prêtre en 1946, sous Pie XII, il s’est retrouvé engagé dans certains des débats les plus complexes qui ont traversé le monde catholique au cours des dernières décennies.

Auteur de plus de 160 ouvrages et 2.000 articles de presse, René Laurentin — qui est le frère de la célèbre journaliste Ménie Grégoire (1919-2014) — prépare le sacerdoce au séminaire des Carmes à Paris. Il y étudie notamment sous la direction du philosophe Jacques Maritain. Fait prisonnier par les Allemands en 1940, il part cinq ans en captivité dans un oflag et en forteresse. Libéré, ordonné, il achève ses études et commence à se spécialiser sur la figure de la Vierge Marie.

Expert des apparitions mariales

Celui qui sera nommé expert durant le concile Vatican II travaille particulièrement sur la question des apparitions mariales. Ses travaux sur les miracles de Lourdes lui confèrent une réputation internationale. Mais l’abbé Laurentin est également connu pour ses publications sur Medjugorje et ses travaux sur Mère Yvonne-Aimée de Malestroit. Le 30 avril 2009, il avait été promu « prélat d’honneur » par le pape Benoît XVI et avait reçu en conséquence le titre honorifique de monseigneur. Le recteur de Lourdes, l’abbé André Cabes, lui a rendu un vibrant hommage sur le site du sanctuaire, soulignant « la solidité du théologien, le sérieux de l’historien, l’agilité du journaliste, (…) la ferveur du croyant ».

https://fr.aleteia.org/2017/09/11/labbe-rene-laurentin-est-mort/

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11 septembre 2017 1 11 /09 /septembre /2017 22:53
Prière païenne

 

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Prière païenne
Countee Porter Cullen

 

Ce n 'est pas pour moi que je fais cette prière,

Mais pour ceux de ma race,

Qui tendent, du fond des ténèbres,

Leurs  mains  noires  pour réclamer du pain et du vin.

 

Moi, mon cœur est un païen insensé,

Mes pieds ne sont jamais en repos,

Mais donne-leur des foyers pour les réchauffer

Dans des demeures  au haut d'une colline.

Moi, ma foi est en jachère,

Je ne m'incline que lorsque je vois,

Mais eux sont humbles, et ils ont foi,

Bénis leur crédulité !

Moi, je paie mes dettes en nature,

Et je ne vois point de meilleure façon,

Mais bénis ceux qui tendent l'autre joue

Par amour pour Toi, et qui prient (1) !

 

Notre Père, Dieu ; notre Frère, Christ,

- Ainsi nous enseigne-t-on  à prier ;

Cette parenté semble bien peu de chose

A ceux qui pleurent tout le jour.

Notre Père, Dieu ; notre Frère, Christ,

Ou sommes-nous des familles de bâtards

Pour qu'à nos plaintes

Tes oreilles soient sourdes

Et Tes portes verrouillées du dedans ?

 

Notre Père, Dieu ; notre frère, Christ,

Relève à nouveau ma race ;

Alors Tu retrouveras  la brebis noire que je

Suis(2)

Et mon cœur païen. Amen.

******************************************

 

1. Cf. Matthieu 5, 37.

2. Cf. Matthieu 1 8, 12-14.

 

Heritage - Poem by Countee Cullen

What is Africa to me:
Copper sun or scarlet sea,
Jungle star or jungle track,
Strong bronzed men, or regal black
Women from whose loins I sprang
When the birds of Eden sang?
One three centuries removed
From the scenes his fathers loved,
Spicy grove, cinnamon tree,
What is Africa to me?

So I lie, who all day long
Want no sound except the song
Sung by wild barbaric birds
Goading massive jungle herds,
Juggernauts of flesh that pass
Trampling tall defiant grass
Where young forest lovers lie,
Plighting troth beneath the sky.
So I lie, who always hear,
Though I cram against my ear
Both my thumbs, and keep them there,
Great drums throbbing through the air.
So I lie, whose fount of pride,
Dear distress, and joy allied,
Is my somber flesh and skin,
With the dark blood dammed within
Like great pulsing tides of wine
That, I fear, must burst the fine
Channels of the chafing net
Where they surge and foam and fret.

Africa?A book one thumbs
Listlessly, till slumber comes.
Unremembered are her bats
Circling through the night, her cats
Crouching in the river reeds,
Stalking gentle flesh that feeds
By the river brink; no more
Does the bugle-throated roar
Cry that monarch claws have leapt
From the scabbards where they slept.
Silver snakes that once a year
Doff the lovely coats you wear,
Seek no covert in your fear
Lest a mortal eye should see;
What's your nakedness to me?
Here no leprous flowers rear
Fierce corollas in the air;
Here no bodies sleek and wet,
Dripping mingled rain and sweat,
Tread the savage measures of 
Jungle boys and girls in love.
What is last year's snow to me,
Last year's anything?The tree
Budding yearly must forget
How its past arose or set­­
Bough and blossom, flower, fruit,
Even what shy bird with mute
Wonder at her travail there,
Meekly labored in its hair.
One three centuries removed
From the scenes his fathers loved,
Spicy grove, cinnamon tree,
What is Africa to me?

So I lie, who find no peace
Night or day, no slight release
From the unremittent beat
Made by cruel padded feet
Walking through my body's street.
Up and down they go, and back,
Treading out a jungle track.
So I lie, who never quite
Safely sleep from rain at night--
I can never rest at all
When the rain begins to fall;
Like a soul gone mad with pain
I must match its weird refrain;
Ever must I twist and squirm,
Writhing like a baited worm,
While its primal measures drip
Through my body, crying, "Strip!
Doff this new exuberance.
Come and dance the Lover's Dance!"
In an old remembered way
Rain works on me night and day.

Quaint, outlandish heathen gods
Black men fashion out of rods,
Clay, and brittle bits of stone,
In a likeness like their own,
My conversion came high-priced;
I belong to Jesus Christ,
Preacher of humility;
Heathen gods are naught to me.


Father, Son, and Holy Ghost,
So I make an idle boast;
Jesus of the twice-turned cheek,
Lamb of God, although I speak
With my mouth thus, in my heart
Do I play a double part.
Ever at Thy glowing altar
Must my heart grow sick and falter,
Wishing He I served were black,
Thinking then it would not lack
Precedent of pain to guide it,
Let who would or might deride it;
Surely then this flesh would know
Yours had borne a kindred woe.
Lord, I fashion dark gods, too,
Daring even to give You
Dark despairing features where,
Crowned with dark rebellious hair,
Patience wavers just so much as
Mortal grief compels, while touches
Quick and hot, of anger, rise
To smitten cheek and weary eyes.
Lord, forgive me if my need
Sometimes shapes a human creed.

All day long and all night through,
One thing only must I do:
Quench my pride and cool my blood,
Lest I perish in the flood.
Lest a hidden ember set
Timber that I thought was wet
Burning like the dryest flax,
Melting like the merest wax,
Lest the grave restore its dead.
Not yet has my heart or head
In the least way realized
They and I are civilized. 

Prière païenne
Prière païenne
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