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Le plan de l'église se compose des éléments fondamentaux suivants :
La nef :
Narthex - Saillie basse à l'extrémité ouest d'une église, comme un porche.
Nef - Le corps principal de l'église, l'approche centrale du maître-autel.
Allées latérales - Zone ouverte d'une église parallèle à la nef et séparée d'elle par des colonnes ou des piliers.
Transepts :
Transept - Espace situé en travers de la nef dans un édifice cruciforme ("en forme de croix").
Chancel - Espace entourant l'autel dans le sanctuaire, à l'extrémité est liturgique d'un édifice religieux chrétien traditionnel. Il peut se terminer par une abside.
Abside :
Chœur - Zone de l'église située entre le transept et l'abside principale. C'est l'endroit où l'on chante l'office, où le clergé peut se tenir debout et où se trouve le maître-autel.
Déambulatoire - Allée semi-circulaire ou polygonale. Souvent, un déambulatoire fait le tour de l'extrémité est du chœur, séparant le chœur des absides ou des chapelles.
Le chœur : cœur liturgique de l'église
Le chœur est une partie essentielle de l'architecture religieuse. C'est l'espace dédié aux célébrations liturgiques, où se rassemblent les clercs pour chanter et prier. Sa position varie selon les styles architecturaux et les époques, mais il est généralement situé à l'extrémité opposée à l'entrée principale de l'église.
Comme vous pouvez le voir sur ce schéma, le chœur est souvent situé dans l'abside, la partie semi-circulaire ou polygonale qui termine l'église. L'autel principal se trouve généralement au centre de l'abside.
Pourquoi le chœur est-il placé à cet endroit ?
Différents types de chœurs:
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« Seigneur je sais que Tu me parles, mais je ne T’entend pas ! Pourquoi mon âme est elle sourde à Ta voix ? »
Voici le dilemme qui torture ceux qui pressentent l’appel du Christ mais n’osent pas dire « oui » de peur de se tromper .
Tous ceux qui ont répondu « présent » à l’appel du Seigneur sont passés par cette étape douloureuse, torturante .
C’est que l’appel au sacerdoce ou à l’engagement monastique n’est pas une « affaire » à prendre à la légère . C’est du « sérieux »!
Le chemin , lorsqu’on a accepté Sa demande, est long et difficile, semé de mille embuches dont les moindres ne sont pas celles liées à notre « ego ».
En effet ne confond on pas l’appel profond et le désir personnel ?
Souvent c’est le cas.
Peut etre même est ce une réponse à l’appel sacré qui est vite supplanté par le désir profane, celui suscité par l’orgueil .
C’est une tragédie .
Beaucoup sont heureux de devenir prêtres mais ce bonheur est dilué par le flot des désirs egoistes: le port de la soutane qui donne une sorte de personnalisation « élitiste » dans la société (ce qui est vain et faux) le port des vetements sacerdotaux et la pratique des rites, qui place « au dessus de la mélée » (ce qui est totalement contraire à la foi et tres injuste)….
On se débat alors dans un monde d’illusions que l’on tient pour vrai, pour réalité .
Répondre à l’appel sacré quand on en a compris le sens, peut etre après des années d’erreurs et de tâtonnement, est tout à fait le contraire.
Le moine, la moniale, le prêtre, le diacre, tout en servant l’autre entre en lui ou elle même et sans cesse se met à l’écoute du Seigneur et obéit à Ses préceptes .
Il devient pasteur et porteur d’espérance, modèle, repère, non par le faste ou l’autorité mais par sa gentillesse, son sens du service et du devoir, son engagement ….
Saint Seraphim de Sarov s’entretient avec le moine Timon et lui dit :
« Continue à semer, Père Timon, sème le blé partout et toujours. Sème-le sur la bonne terre, sème-le dans le sable, sur le roc, le long du chemin, et parmi les épines.
Il y a toujours l’espoir que quelque graine prendra racine, poussera, donnera du fruit, même si cela prend du temps. N’ensevelis pas le talent qui t’a été donné, mais place-le pour en avoir l’intérêt. » (traduit par Claude Lopez-Ginisty)
Répondre à l’appel du Christ requiert humilité, patience, réflexion, discernement, surtout discernement car sans cette qualité là, comment un prêtre deviendra-t-il un juste confesseur
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